Lot 38
Catalogue
Estimation : 3 000 € - 4 000 €
Henri COURSELLES-DUMONT (Paris, 1856 – 1918)
La Captive
Huile sur toile
Signée et datée ‘H. Courselles Dumont 1904’ en bas à droite
(Restaurations)
Sans cadre
The captive, oil on canvas, signed and dated, by H. Courselles-Dumont
43.9 x 27.95 in.
111.5 x 71.0 cm
Provenance : Vente anonyme ; Paris, Hôtel Drouot, 17 avril 1969 ;
Acquis lors de cette vente par Gérard Lévy ;
Collection Gérard Lévy ;
Puis par descendance
Expositions : Salon des Artistes Français, Paris, Grand Palais, mai 1904, cat. n° 475 : « La captive »
Bibliographie : Carte postale n° 609 Gr., ND Phot ; 1904 : « Salon de 1904 – La Captive, par H. Courselles Dumont »
Baschet, Ludovic, Catalogue illustré du Salon de 1904, Librairie d’Art, 1904, cat. n° 475 : « La captive »
Maison Française, n° 272, novembre 1973, reproduit p. 189 : « La Captive »
Schurr, Gérald, 1820-1920 / Les Petits Maîtres de la Peinture / Valeur de Demain, tome 3, Les Éditions de l’Amateur, 1976, reproduit : « La Belle captive »
Après une première formation auprès de Luc-Olivier Merson à l’école des Beaux-arts de Paris, Henri Courselles-Dumont intègre l’atelier de Jules-Élie Delaunay, dont il devient l'assistant, notamment en collaborant à l’achèvement des fresques du Panthéon. Exposant au Salon des Artistes français à partir de 1882, il s’adonne progressivement à la peinture d’histoire en y mêlant le plus souvent un imaginaire fantastique, érotique et sombre, qui lui vaut une médaille de 3e classe en 1898. Exposé en 1904, notre grand tableau figurant une captive, prisonnière d’un imposant cavalier barbare, offre le parfait prétexte à la représentation sensuelle et sans équivoque d’un séduisant nu féminin.
Henri COURSELLES-DUMONT (Paris, 1856 – 1918)
111.5 x 71.0 cm
Après une première formation auprès de Luc-Olivier Merson à l’école des Beaux-arts de Paris, Henri Courselles-Dumont intègre l’atelier de Jules-Élie Delaunay, dont il devient l'assistant, notamment en collaborant à l’achèvement des fresques du Panthéon. Exposant au Salon des Artistes français à partir de 1882, il s’adonne progressivement à la peinture d’histoire en y mêlant le plus souvent un imaginaire fantastique, érotique et sombre, qui lui vaut une médaille de 3e classe en 1898. Exposé en 1904, notre grand tableau figurant une captive, prisonnière d’un imposant cavalier barbare, offre le parfait prétexte à la représentation sensuelle et sans équivoque d’un séduisant nu féminin.
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