Lot 25
Catalogue
Estimation : 2 000 € - 3 000 €
Eugène-Robert POUGHEON (Paris, 1886 – 1955)
Etude pour les Amazones (aux pies)
Aquarelle gouachée, plume et encre brune sur traits de crayon
Study for The Amazons (with magpies), gouache, watercolour, pen and brown ink, by E.-R. Pougheon
4.72 x 5.12 in.
12.0 x 13.0 cm
Provenance : Collection Gérard Lévy ;
Puis par descendance
Notre aquarelle gouachée est préparatoire à une importante toile de Pougheon, les Amazones (aux pies), certainement peinte à Rome en 1923 et exposées parmi les "envois de Rome" des pensionnaires de la Villa Médicis en 1925. La localisation de ce tableau est actuellement inconnue. Influencé tant par sa formation classique que par les expérimentations des cubistes, Pougheon fixe sur la feuille les bases géométriques d’une composition intégrée à un format presque carré, en utilisant la perspective pour équilibrer judicieusement les différents éléments. L’arrière-plan architectural, dont les balustrades typiquement romaines sont vraisemblablement empruntées au casino de la villa Borghèse, vient encadrer la scène à droite. L’artiste consacre ici l’essentiel de ses efforts aux attitudes des amazones occupant le registre médian, dont les silhouettes menues aux jambes fuselées viennent se découper sur la masse claire des chevaux blancs, dans un équilibre idéal savamment orchestré.
Eugène-Robert POUGHEON (Paris, 1886 – 1955)
12.0 x 13.0 cm
Notre aquarelle gouachée est préparatoire à une importante toile de Pougheon, les Amazones (aux pies), certainement peinte à Rome en 1923 et exposées parmi les "envois de Rome" des pensionnaires de la Villa Médicis en 1925. La localisation de ce tableau est actuellement inconnue. Influencé tant par sa formation classique que par les expérimentations des cubistes, Pougheon fixe sur la feuille les bases géométriques d’une composition intégrée à un format presque carré, en utilisant la perspective pour équilibrer judicieusement les différents éléments. L’arrière-plan architectural, dont les balustrades typiquement romaines sont vraisemblablement empruntées au casino de la villa Borghèse, vient encadrer la scène à droite. L’artiste consacre ici l’essentiel de ses efforts aux attitudes des amazones occupant le registre médian, dont les silhouettes menues aux jambes fuselées viennent se découper sur la masse claire des chevaux blancs, dans un équilibre idéal savamment orchestré.
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